Auteur: Eckhart Tolle
A qui est destiné ce livre?
Ce livre à un publique cible très évident. 🙂 Il est destiné aux personnes qui réfléchissent trop, qui intellectualise tout le temps. En effet, intellectualiser est une arme terriblement redoutable pour luter contre le bonheur.
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L’essentiel de « Le pouvoir du moment présent » d’Eckhart Tolle:
- Lorsque je cite à l’occasion Jésus ou Bouddha, un cours en miracles ou tout autre enseignement, je le fais non pas pour comparer, mais pour attirer votre attention sur le fait que, essentiellement, il n’y a jamais eu qu’un seul enseignement spirituel, bien qu’il puisse prendre de nombreuses formes. Il s’est cependant ajouté à certaines de ces formes tellement d’éléments superflus, entre autres dans les religions anciennes, que leur essence spirituelle en a été presque totalement éclipsée.
- L’incapacité à s’arrêter de penser est une épouvantable affliction.
- Cet incessant bruit mental vous empêche de trouver ce royaume de calme intérieur qui est indissociable de l' »être ». Ce bruit crée également un faux moi érigé par l’ego qui projette une ombre de peur et de souffrance sur tout.
- Vous réalisez aussi que toutes les choses vraiment importantes – la beauté, l’amour, la créativité, la joie, la paix – trouvent leur source au-delà du mental.
- Telles que sont les choses, environs quatre-vingt à quatre-vingt-dix pour cent de la pensée chez l’humain est non seulement répétitive et inutile, mais aussi en grande partie nuisible en raison de sa nature souvent négative et dysfonctionnelle.
- Aux yeux de l’ego, le moment présent n’existe quasiment pas, car seuls le passé et le futur lui importent.
- « Un jour, quand ceci ou cela se produira, je serai bien heureux, en paix » Même quand l’ego semble se préoccuper du présent, ce n’est pas le présent qu’il voit. Il le perçoit de façon totalement déformée, car il le regarde avec les yeux du passé. Ou bien il le réduit à un moyen pour arriver à une fin, une fin qui n’existe jamais que dans le futur projeté par lui.
- Des aperçus fugitifs d’amour et de joie ou de brefs moments de profonde paix ne peuvent arriver que lors qu’une interruption survient dans le flot des pensées. Chez la plus part des gens, de telles parenthèses se produisent rarement et seulement accidentellement, à des moments où le mental réagit par le mutisme.
- Ce que l’on qualifie parfois à tort de joie n’est en fait habituellement que l’aspect plaisir, éphémère du perpétuel cycle d’alternance souffrance-plaisir. Le plaisir est toujours provoqué par quelque chose d’extérieur à vous, alors que la joie émane de l’intérieur.
- La souffrance que vous créez dans le présent est toujours une forme de non-acceptation, de résistance inconsciente à ce qui est.