Halte aux nouveaux inquisiteurs.
Auteur: Natacha Polony & Jean Michel Quatrepoint
Natacha Polony
Journaliste Française depuis 2002 d’abords dans la presse écrite (Marianne) et ensuite à la télévision (France 3 & France 2) mais aussi à la radio (Europe 1 & Paris première). Elle a été mise en avant pour ses débats politiques et son expertise littéraire. En 2015 elle crée un laboratoire d’idées. Elle a écris neuf ouvrages dont le dernier est « Délivrez-nous du bien » coécris avec Jean Michel Quatrepoint.
Jean-Michel Quatrepoint
Journaliste depuis 1967, il a travailler onze années pour « Le monde » puis pour « les échos, le journal des finances (qui n’existe plus depuis 2011), le nouvel économiste« . Il a également écris neuf ouvrages et a également terminé par « Délivrez-nous du bien ».
A qui est destiné ce livre?
Ce livre est destiné à tous ceux qui se sente parfois « accusé » par des bruits de société alors qu’ils ont l’impression d’être des gens bien. Vous vous sentez jugé coupable juste car vous êtes un « homme blanc de 50 ans » alors que vous vous sentez respectueux de valeurs et souhaitez le bien des autres? Si oui, ce livre est assurément pour vous!
L’essentiel de « Délivrez-nous du bien ! »:
- Trois dérives menacent l’humanité en ce troisième millénaire.
- La première, c’est le retour du fanatisme religieux. Au nom de Dieu on éradique tous ceux qui ne croient pas.
- La deuxième dérive, c’est la montée en puissance de ce que l’on a baptisé en Occident des « autocraties ». Un système ou les minorités n’existent qu’a condition de se couler dans le moule collectif et de respecter la règle commune.
- La troisième nous la vivons en occident. Nos démocraties qui favorise le libre arbitre sont malades. A bout de souffle. Elles sont menacées par une nouvelle idéologie : celle du minoritarisme. Il s’agit de changer l’être humain, et surtout l’homme, de nous transformer, et de contraindre les plus réticents à faire amende honorable. Ce n’est pas une religion mais cela y ressemble. Ce n’est pas un parti unique sur le modèle communiste ou fasciste, mais par un certain côté, cela s’y apparente. Au nom du bien, on va rééduquer le consommateur, le citoyen. Au nom du bien on va dicter la bonne conduite ou interdire certains mots et en promouvoir d’autres. Faire place à cette forme subtile d’oppression totalitaire.
- La population féministe n’est pas représentative des femmes et selon deux critères majeurs: L’orientation sexuelle est un caractère dominent. On note que 5,5% des femmes ne sont pas exclusivement hétérosexuelle (ps : 0,5% des femmes et 1,1% des hommes disent ne pas avoir eu de relation homosexuelle maintenue https://fr.wikipedia.org/wiki/Homosexualité ). Ce pourcentage s’élève à 45% chez les féministes. C’est intérêt à fortement tendance à orienter la façon de regarder les rapports hommes-femmes
- Sous prétexte de tolérance, on incite les enfants non plus à jouer avec les stéréotypes liés aux identités de genre, mais à considérer toute identité comme flottante, ce qui est sensiblement différent.
- Rendre le monde binaire, bien et mal, oppresseur et oppressé, bourreau et victime.