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Auteur: Lise Bourbeau
Lise Bourbeau est une responsable dans le commerce. Elle a géré plusieurs milliers de personnes qu’elle a aidée à s’épanouir et à grandir dans leur vie et leur carrière.
A qui est destiné ce texte?
Avec une touche importante de spiritualité, il n’en sera pas non plus hostile à ceux qui sont allergique au mot « âme ». Ce livre est destiné tant au amateur qu’aux confirmé car il apporte des idées nouvelles. Vous l’avez compris avec le titre, le sujet principal est notre blessure primordiale. Un livre qui peut donc nous apporter une meilleur compréhension de soi et des autres avec des réelles idées nouvelles.
L’essentiel des « Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même »:
- Nous avons tous de nombreuses croyances qui nous empêchent d’être ce que nous voulons êtres. Plus ces façons de penser ou croyances nous font mal, plus nous essayons de les occulter.
- Les cinq blessures sont le Rejet, l’Abandon, l’Humiliation, la Trahison, l’Injustice.
- Les masques que nous créons pour nous protéger sont visibles dans la morphologie d’une personne, donc dans son apparence extérieure.
- Le corps est tellement intelligent qu’il trouve toujours un moyen de nous laisser savoir ce que nous avons à régler.
- Le fuyant recherche la solitude, car s’il recevrait beaucoup d’attention, il aurait peur de ne pas savoir quoi faire. C’est comme si son existence était de trop.
- En effet, le fuyant parle peu généralement. S’il se met à s’exprimer beaucoup , ce sera pour essayer de se mettre en valeur et ses paroles peuvent sembler orgueilleuses aux yeux des autres.
- Le fuyant développe souvent des problèmes de peau pour ne pas être touché.
- S’il vit une expérience de rejet avec le parent ou une personne du sexe opposé, il s’accuse lui-même de cette situation et se rejette en disant que c’est de sa faute si l’autre l’a rejeté.
- Elles ont cessé de se confier à leur mère par peur de ne pas être comprises. Elles croient qu’être comprises, c’est être aimées. Être compris n’a rien à voir avec être aimé. Aimer, c’est accepter l’autre même si on ne le comprend pas.
- Il confond malheureusement le être avec le faire.
- Nous reprochons aux autres tout ce que nous faisons nous-même et ne voulons pas voir.
- Tant qu’on continue à en vouloir à un parent (même inconsciemment), nos relations avec toutes les autres personnes du même sexe que ce parent seront difficile.
- Chaque masque est justement là pour nous indiquer que nous nous empêchons d’être nous-mêmes parce que nous ne nous aimons pas assez.
- Il est possible que certains aient trois, quatre ou même cinq blessures. Une des cinq peut prédominer, tandis que les autres sont moins évidentes. Elles peuvent aussi être toutes de moindre importance. Quand un masque prédomine, c’est signe que la personne l’utilise plus souvent que les autres pour se protéger. Lorsque le masque prend très peu de place dans le corps de la personne, ceci signifie que cette personne ne ressent pas souvent la blessure reliée à ce masque. Ce n’est donc pas parce qu’un masque est dominant que cela veut dire qu’il exprime la blessure la plus importante à guérir.
- Lorsque tu arriveras à te dire régulièrement: » Voilà, j’ai mis tel masque, c’est pour cette raison que j’ai réagi de telle façon », ta guérison sera bien avancée.
- Nous mettons un masque non seulement chaque fois que nous avons peur de vivre une blessure avec quelqu’un d’autre mais aussi lorsque nous avons peur de réaliser que nous faisons nous-même vivre une blessure aux autres. Donc nous agissons toujours afin d’être aimés ou par peur de perdre l’amour des autres. Nous adoptons un comportement qui ne correspond pas à ce que nous sommes. Nous devenons quelqu’un d’autre. Comme le comportement dicté par le masque nous demande des efforts, nous avons des attentes face aux autres par la suite.
- Ce que nous sommes et ce que nous faisons doivent être la source de notre bien-être et non les compliments, la gratitude, la reconnaissance ou le soutien qui nous viennent des autres.
- Il est aussi nécessaire d’accepter les masques que tu as permis à ton égo de créer pour les cacher et pour t’éviter de souffrir. Aimer et accepter une blessure signifie la reconnaître, savoir que tu es revenu sur cette terre pour guérir ce genre de blessure et accepter que ton égo a voulu te protéger en créant un masque. Ensuite, remercie-toi d’avoir eu le courage de créer et d’entretenir un masque qui a contribué à t’aider à survivre. Aujourd’hui, par contre, ce masque te nuit plus qu’il ne t’aide. Le temps est venu pour toi de décider que tu peux survivre même si tu te sens blessé. Tu n’es plus ce petit enfant qui ne pouvait pas gérer sa blessure. Tu es maintenant un adulte avec plus d’expérience et plus de maturité, avec une vision différente sur la vie et qui a l’intention dorénavant de s’aimer d’avantage.
- Les quatre étape d’une blessure: La première est celle où nous sommes nous-même. La deuxième consiste à ressentir de la douleur en découvrant que nous ne pouvons pas être nous-mêmes, car cela ne fait pas l’affaire des adultes autour de nous. Malheureusement, les adultes ne réalisent pas que l’enfant essaie de découvrir qui il est et, au lieu de le laisser être lui-même, ils sont davantage occupés à dire à l’enfant qui il devrait être. La troisième étape représente celle de la révolte face à la douleur vécue. C’est à ce moment que l’enfant commence à faire des crises et à résister à ses parents. La dernière étape, la résignation, est celle où nous décidons de nous créer un masque pour essayer de ne pas décevoir les autres et surtout pour ne pas revivre la souffrance qui résulte du fait de ne pas avoir été acceptés lorsque nous étions nous-mêmes.
- L’acceptation est donc l’élément déclencheur pour mettre en marche la guérison.